Elle danse. Elle écoute. Pas à pas, l'être se forme. Quatre puis Deux. Pied à terre. Tour sur elle même, elle rêve son monde en couleur, bohémienne du cœur, elle fait de son monde sa maison. Elle danse, cette demoiselle au grand cœur, sauvage et pure à la fois. Cri de douleur, elle se relève et combat, l'héroïne des uns comme l'ennemi des autres. Cri du cœur, elle se relève et prend votre main. Elle danse, entre dans votre vie, bohémienne du cœur, elle s'imprègne dans votre esprit et laisse cette trace, indélébile, ce sourire sur vos lèvres, cette larme sur vos joues, ce pincement à l'intérieur, cet éclat de rire.
Elle danse. Elle écoute. Elle transforme, et l'être se forme. Ce n'est pas une vie facile. Ce n'est pas une vie rêvé. Ce n'est pas la vie voulut. Elle virevolte, elle tombe et se relève, elle s'anime, prend vie. Son sourire, son éclat de rire, sa larme sur sa joue, son pincement à l'intérieur. Elle, bohémienne de son cœur, emprisonnée à l'intérieur.
Danse encore, rêve encore, vie encore. Tour sur toi même, je prends ta main. Une semaine, te revoilà. Dans tes bras, dans ton cœur, dans ta voix. Danse encore. Avec moi. Danse.
Elle danse. Elle écoute. Elle transforme, et l'être se forme. Ce n'est pas une vie facile. Ce n'est pas une vie rêvé. Ce n'est pas la vie voulut. Elle virevolte, elle tombe et se relève, elle s'anime, prend vie. Son sourire, son éclat de rire, sa larme sur sa joue, son pincement à l'intérieur. Elle, bohémienne de son cœur, emprisonnée à l'intérieur.
Danse encore, rêve encore, vie encore. Tour sur toi même, je prends ta main. Une semaine, te revoilà. Dans tes bras, dans ton cœur, dans ta voix. Danse encore. Avec moi. Danse.