La fin de cette semaine sonnera comme le début d'un grand repos, bien mérité après cette rentrée mouvementée. C'est éprouvant les inaugurations, il faut le temps de s'adapter au coin ainsi qu'aux personnes qui le font vivre. Et l'inverse est valable, il faut du temps aux personnes d'accepter que leur coin s'ouvre à une étrangère. Alors, après cette ouverture, après ces différentes mises à l'épreuve, je m'en retourne dans mon coin à moi, histoire de faire le point. Et après...
Mardi 23 octobre 2007 à 20:18
La fin de cette semaine sonnera comme le début d'un grand repos, bien mérité après cette rentrée mouvementée. C'est éprouvant les inaugurations, il faut le temps de s'adapter au coin ainsi qu'aux personnes qui le font vivre. Et l'inverse est valable, il faut du temps aux personnes d'accepter que leur coin s'ouvre à une étrangère. Alors, après cette ouverture, après ces différentes mises à l'épreuve, je m'en retourne dans mon coin à moi, histoire de faire le point. Et après...
Samedi 20 octobre 2007 à 22:22
Une envie de prendre des photos. Toutes sortes de photos. Faire vivre ces moments plus longtemps. Les immortaliser sur cet écran. Illustrer mon blog avec autre chose que des pianos. S'approcher d'un nouvel horizon. Mêler piano et photos diverses. Pourquoi pas ?
Je veux m'saouler de liberté. Danser au rythme des battements de son coeur. En faire partie aussi. Un sourire au coin des lèvres, et dans les yeux une lumière. Tornade de sentiments. Ils parlent mais je ne les entends pas. Murmures indistincts dans le creux de mon coeur. I'm feel Good Enough.
Il faisait froid. Le vent souff[la]it à nos oreilles que le temps file à toute vitesse. Mais ce n'était pas très important, nous étions ensemble.
Samedi 13 octobre 2007 à 16:35
Piano et Danse en parfaite harmonie. Nos regards se croisent au détour d'un mouvement. Elle s'approche, se penche sur le piano, tourne la feuille de la partition et repart d'un seul coup. Magique. Mouvements gracieux et sourire au coins des lèvres, le public est conquis. Chacune s'élance et se compense, notes et mouvements s'accordent, on ne peut dissocier les deux... Encore un instant suspendu dans l'air du bar... The End. Dans la salle, on est debout. Je me lève et [la] rejoins.
Lundi 8 octobre 2007 à 19:01
Lors de l'écriture de cet article, c'est ton blog que l'on présente en haut a droite. Coincidence ?
J'ai des paroles dans la tête. La chanson d'un drame, d'un amour, et d'un sourire, toujours plus beau chaque jour. La chanson de nos vies qui s'écoulent, s'envolent, suspendu dans l'air du temps qui nous échappe. Cette chanson me fait penser à Toi. Ma drogue, mon héroïne. Ma plus belle partition. Oserais-je la dévoiler au grand public un soir ? Crier ma fierté, mon amour, oserais-je un jour seulement ?
Est-ce ce public qui m'impressionne, ou est-ce le fait de savoir que tu es là, assise dans cette pénombre ? Une grande respiration, un moment de doute. Et cet air revient, et dans ma tête se redessine ce visage, ce sourire, Toi. Je m'élance.
Un salut, un petit discours, un "bonne soirée", et la recherche de ton visage. Je dois maintenant prendre p[la]ce derrière ce piano, majestueux. Trois, deux, un...
Vendredi 5 octobre 2007 à 19:55
La pluie tombe dehors. Elle va et vient, entre nuages blancs et gris, entre sourire et regard perdu dans l'horizon... Elle se plait à rêver. Elle divague, se laisse porter par la musique, et s'imagine loin, plus loin que d'habitude, plus loin que ces rêves. Une réalité improvisée, sont rêve inaccessible pour le moment elle l'espère.
Tout est mouillé. Les fleurs plient sous le poids des gouttes, les couples se serrent sous les parapluies, les écoliers se protègent tant bien que mal avec leur sac trop lourd et trop grand pour eux. Elle s'arrête un instant. C'est son reflet qu'elle voit. Il coule lentement, pour s'écraser sur le bitume. Elle s'écrase la goutte, elle est tout cassée maintenant, toute parterre. C'était son reflet dans cette goutte. Juste un reflet, même si...
"It is the shorter story, no love, no glory, no hero in her skies..."
La pluie ne cesse de tomber dehors. Elle continue d'avancer, seule sous son parapluie, avec sa mu[si]que. Ca tambourine dans ses oreilles, et elle continue d'avancer. Elle s'en fiche après tout, ce n'était qu'un reflet.